La Maison Blanche se félicite de l'accord sur la Grèce
le 13/07/2015
"Les Etats-Unis se félicitent de l'accord conclu aujourd'hui entre la Grèce et ses créanciers", a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche lundi. Josh Earnest, porte-parole de Barack Obama a jugé qu'il s'agissait d'un pas en avant important et "crédible" dans le bonne direction, tout en soulignant que des "étapes importantes" restaient encore à franchir.
"Nous avons depuis longtemps souligné qu'une solution possible consistait en un ensemble de réformes et de financements qui permettraient à la Grèce d'être sur sur la voie de la croissance économique et d'une gestion durable de sa dette", a-t-il souligné.
Au terme de près de 48 heures de négociations aux allures de psychodrame, les dirigeants de la zone euro ont en effet validé lundi matin un projet de troisième plan de secours pour Athènes qui éloigne le spectre d'une sortie désordonnée de la Grèce de la monnaie unique.
Si l'accord sur la Grèce était très attendu en Europe, il l'était également aux Etats-Unis, qui saluent le maintien de la Grèce dans la zone euro.
AFPle 13/07/2015
"Les Etats-Unis se félicitent de l'accord conclu aujourd'hui entre la Grèce et ses créanciers", a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche lundi. Josh Earnest, porte-parole de Barack Obama a jugé qu'il s'agissait d'un pas en avant important et "crédible" dans le bonne direction, tout en soulignant que des "étapes importantes" restaient encore à franchir.
"Nous avons depuis longtemps souligné qu'une solution possible consistait en un ensemble de réformes et de financements qui permettraient à la Grèce d'être sur sur la voie de la croissance économique et d'une gestion durable de sa dette", a-t-il souligné.
"Un pas en avant crédible"
"Cela apparaît comme un pas en avant crédible dans cette direction", a-t-il poursuivi. "Nous espérons que toutes les parties en présence prendront les décisions difficiles qui s'imposent et mèneront à bien le travail important qui reste à faire", a-t-il encore ajouté.Au terme de près de 48 heures de négociations aux allures de psychodrame, les dirigeants de la zone euro ont en effet validé lundi matin un projet de troisième plan de secours pour Athènes qui éloigne le spectre d'une sortie désordonnée de la Grèce de la monnaie unique.